Au cours du XVIIIème et XIXème siècles, les gravures du quagga deviennent populaires notamment dans des ouvrages d’histoire naturelle, en voici quelques exemples :
Traduction des légendes : de la cheville au genou compris, les couleurs sont pales. Du dos au ventre, il y a des rayures, le ventre est brun jusqu’aux tétons.
C’est un jeune kwagga : la première syllabe est prononcée avec un fort coup de langue. C’est du langage hottentot. Nous prononçons le mot sans le coup de langue. Cet animal est peut être un onagre.
Représentation du couagga – Jacques de sève – Histoire naturelle générale et particulière –Buffon (édition de 1784, tome sixième)
Source Gallica BNF
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t541806825/f426.item.r=kwagga
Le Couagga – Equus quagga Linné, Gmelin vrai Etalon Couagga de Louis XVI, peint par Maréchal en 1793 (An II de la république) – Collection Vélin du muséum d’histoire naturelle
Il existe aussi des gravures rupestres, non datées