Représentations du quagga XVIIIème siècle


Représentation du quagga sous le nom de zèbre femelle – Gleanings of natural history – George Edwards 1751 (https://www.biodiversitylibrary.org/bibliography/153666)

Au cours du XVIIIème et XIXème siècles, les gravures du quagga deviennent populaires notamment dans des ouvrages d’histoire naturelle, en voici quelques exemples :

Croquis d’une jeune pouliche kwagga réalisé en novembre 1777 par le capitaine Robert Jacob Gordon 
Source Rijksmuseum, Amsterdam. RM 190. (https://www.robertjacobgordon.nl/drawings/rp-t-1914-17-190)


Traduction des légendes : de la cheville au genou compris, les couleurs sont pales. Du dos au ventre, il y a des rayures, le ventre est brun jusqu’aux tétons.
C’est un jeune kwagga : la première syllabe est prononcée avec un fort coup de langue. C’est du langage hottentot. Nous prononçons le mot sans le coup de langue. Cet animal est peut être un onagre.

Représentation du couagga – Jacques de sève – Histoire naturelle générale et particulière –Buffon  (édition de 1784, tome sixième)

Source Gallica BNF

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t541806825/f426.item.r=kwagga

Screenshot

Le Couagga – Equus quagga Linné, Gmelin  vrai Etalon Couagga de Louis XVI,  peint par Maréchal en 1793 (An II de la république) – Collection Vélin du muséum d’histoire naturelle

Il existe aussi des gravures rupestres, non datées