![](https://quagga.re/wp-content/uploads/2024/04/FemalezebraEdwrds-copy.jpg)
Au cours du XVIIIème et XIXème siècles, les gravures du quagga deviennent populaires notamment dans des ouvrages d’histoire naturelle, en voici quelques exemples :
![](https://quagga.re/wp-content/uploads/2024/04/Gordonkwagga-1024x728.jpeg)
Source Rijksmuseum, Amsterdam. RM 190. (https://www.robertjacobgordon.nl/drawings/rp-t-1914-17-190)
Traduction des légendes : de la cheville au genou compris, les couleurs sont pales. Du dos au ventre, il y a des rayures, le ventre est brun jusqu’aux tétons.
C’est un jeune kwagga : la première syllabe est prononcée avec un fort coup de langue. C’est du langage hottentot. Nous prononçons le mot sans le coup de langue. Cet animal est peut être un onagre.
![](https://quagga.re/wp-content/uploads/2024/04/KwaggaJdeSeve-1.jpg)
Représentation du couagga – Jacques de sève – Histoire naturelle générale et particulière –Buffon (édition de 1784, tome sixième)
Source Gallica BNF
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t541806825/f426.item.r=kwagga
![](https://quagga.re/wp-content/uploads/2024/04/CouaggaMarechal.jpeg)
Le Couagga – Equus quagga Linné, Gmelin vrai Etalon Couagga de Louis XVI, peint par Maréchal en 1793 (An II de la république) – Collection Vélin du muséum d’histoire naturelle
Il existe aussi des gravures rupestres, non datées